Votre navigateur est obsolète. Veuillez le mettre à jour avec la dernière version ou passer à un autre navigateur comme ChromeSafariFirefox ou Edge pour éviter les failles de sécurité et garantir les meilleures performances possibles.

Passer au contenu principal

Mortel pour le bétail, le séneçon arrive sur l'alpe

À ne pas confondre avec le pissenlit ou le millepertuis, les séneçons forment des grappes de fleurs jaunes.

«C'est une charogne de plante», s'exclame Jean-Samuel Marmillod. L'agriculteur de Rossinière le dit dans un petit rire, mais un petit rire jaune. Jaune comme la fleur des séneçons, ces plantes indigènes plutôt coutumières des sols de plaine et dont on constate depuis peu l'apparition au-dessus de 1000 mètres. En progressant vers les hauteurs, l'inoffensive herbacée aux faux airs de pissenlit se transforme en prédatrice de bétail car elle contient un alcaloïde toxique pour la plupart des mammifères.

Les articles ABO sont réservés aux abonnés.

S'abonnerDéjà enregistré.e ou abonné.e?Se connecter